Théâtre
La Programmation
Septembre-Décembre 2024
DÉCOUVRIR
LES SPECTACLES
3 Oct
JEUDI
20H45
Cie Le funamule montmartre & des histoires de théâtre
11 Oct
VENDREDI
20H45
Cie Hors du temps
18 Oct
VENDREDI
20H45
Cie Le pied nu
9 Nov
SAMEDI
15H & 18H
Jacques lefebvre
15 Nov
VENDREDI
20H45
Cie Ainsi de suite
29 Nov
VENDREDI
20H45
S. Belmondo / T. Bramerie / V. Silvestri
6 Déc
VENDREDI
20H45
Cie VIve
13 Déc
VENDREDI
20H45
Ballet Petipa & Azur Ballet Marius
14 Déc
SAMEDI
16H
Cie Lei Chapacans / Didier Mir
31 Déc
MARDI
21H
Cie Slalom
THÉÂTRE
Jeudi 3 Octobre à 20h45
UN CADEAU PARTICULIER
- Cie Le funamule montmartre & des histoires de théâtre -
« Quand un cadeau d’anniversaire dynamite votre soirée !»
Eric va fêter ses 50 ans. En petit comité - il n'aime pas les grandes fêtes -, avec son épouse et son meilleur ami, qui est également son associé depuis bientôt 30 ans. L'apparente légèreté de la soirée qui commence est stoppée net par le cadeau « particulier » que lui offre son ami. La soirée va alors se révéler bien moins paisible que prévu et réserver bien des surprises. De déconvenues en révélations explosives, Eric découvre progressivement l'homme qu'il paraît être - ou qu'il est réellement - aux yeux de ses proches, de ses amis, des autres... Bref, une soirée qu’on préfère regarder plutôt que vivre !
Les dialogues sont fins et intelligents. Un humour grinçant omniprésent accompagne des réparties souvent acerbes mais toujours pertinentes, sur un rythme effréné et sans aucun temps mort. La pièce est en elle-même un vrai cadeau ! Merci à Didier Caron, l'auteur, dans un tout autre style, du remarquable « Fausse note »
Distribution
Texte : Didier Caron
Mise en scène : Didier Caron & Karina Marimon
Avec : Bénédicte Bailby, Didier Caron, Christophe Corsand
Dider Caron a été nominé 5 fois meilleur auteur aux Molières
Presse
« Irrésistible /…/ d’humour noir "Un cadeau particulier" part d’une réalité qu’on pense banale pour offrir un déchaînement de dialogues coupant comme des rasoirs. Didier Caron /…/ interprète Eric avec un génial flegme britannique.» La Provence
« C'est un spectacle à ressorts multiples, et c'est particulièrement bien joué et magnifiquement troussé » Sorties à Paris.
« Face à Didier Caron qui ne s'est pas réservé le plus beau rôle, Bénédicte Bailby et Christophe Corsand sont aussi irréprochables qu'attachants et tous trois, mis en scène très efficacement par l'auteur et Karina Marimon, contribuent à faire de ce petit bijou un vrai moment de bonheur ! » Tatouvu.com
THÉÂTRE
Vendredi 11 Octobre à 20h45
HEUREUX LES ORPHELINS
- Cie Hors du temps -
« D’après « Electre » de Jean Giraudoux»
Une création inspirée d’Électre de Jean Giraudoux, mêlant drame et comédie satirique, qui appelle à redonner du sens aux mots pour reprendre le pouvoir par le langage. Ce soir, Electre retrouve son frère Oreste, œuvrant loin des siens dans un cabinet ministériel. Alors que leur mère est dans le coma, l’heure est venue de mettre des mots sur le passé afin d’affronter le présent.
Ce qui n'est pas nommé n'existe pas. La pensée dépend des mots et le langage est une arme. Son usage de plus en plus technique et tactique en fait un instrument clé du pouvoir. Pour donner à voir cette suprématie que confère aujourd’hui la maîtrise du langage, on rejoue ici un mythe ancestral en substituant la violence symbolique des mots aux coups d’épée antiques. De même que Jean Giraudoux avait entrelacé récit séculaire et références modernes dans son Electre, ici le spectacle mêle sa langue à une écriture contemporaine, convoquant au présent figures antiques et personnages actuels.
A travers cette création, Sébastien Bizeau fait sienne la réflexion de George Orwell : « Le chaos actuel n’est pas sans rapport avec la décadence de la langue, et il est sans doute possible d’améliorer la situation en commençant par le langage. »
Distribution
Texte et mise en scène : Sébastien Bizeau
Avec : Emmanuel Gaury, Matthieu Le Goaster, Paul Martin, Cindy Spath et Maou Tulissi
Lumières et vidéo : Thomas Nimsgern
Costumes : Claire Bigot
© C. Gasnier
Presse
« Une écriture contemporaine pour une Electre entre mythologie et modernité !» Radio Alliance
« Des comédiens au talent remarquable, un sens aigu de la théâtralité » Arts Mouvants« Coup de cœur pour cette relecture contemporaine de Giraudoux » Passion Théâtre
« C’est subtil, brillant. Et admirablement bien écrit » RadioJ
THÉÂTRE
Vendredi 18 Octobre à 20h45
BLEU + BLEU = 4
UN FRANÇAIS COMME LES AUTRES
- Cie Le pied nu -
« Le Marseille des années 60 à travers le regard d'un enfant en quête d'une identité »
Il aurait pu s’appeler Jean, Ivan, Baran, Youri, Pablo, Abraham, Boris, Rodrigo, N’Guyen, Issa ... Lui, il s’appelle Mohamed. Comme tous les autres, il est né à Marseille. Français. Puis devenu algérien, et redevenu français, franco-algérien plutôt.
A travers son regard, nous revisitons les vendeurs ambulants, la vendeuse de limaçons, le vitrier, le chiffonnier, le rémouleur .... Le parcours du combattant de sa mère veuve avec cinq enfants, exilée dans un pays qu’elle ne connaît pas. D’abord, le monde refuge dans lequel son Doudou, protecteur dans un pays imaginaire, lui permet d’échapper aux tumultes de la réalité parfois dure. Puis son périple vers l’âge adulte. Traverser la guerre d’Algérie et se demander à quel pays on appartient. Comment se construire quand on ne sait plus à quel « sein » se vouer ?
Distribution
Texte : Mohamed Adi et René Escudie
Collaboration mise en scène et direction d’acteur : Danielle Stefan et Jacques Germain
Avec : Mohamed Adi et Doudou
Technicien Lumière : Tristan Bruemmer
Costumes : Virginie Breger
CINÉMA
Samedi 9 Novembre à 18h + Séance supplémentaire à 15h !
ADIEU LA RAILLE
- De Jacques Lefebvre -
« Nouvelle projection à la demande de nombreux Toulonnais ! »
COMPLET À 18H !
OUVERTURE D'UNE PROJECTION SUPPLÉMENTAIRE À 15H ! COMPLET AUSSI !
La raille ! Ce mot appartient aux Toulonnais et à nul autre. Même les Marseillais n’ont pas osé le leur voler.
« Adieu la Raille », adaptation du roman de Jean Rambaud, raconte les dernières années des « railles » toulonnaises qui marquaient crânement leur territoire en se castagnant au « largue-dures » en batailles rangées, quartier contre quartier : raille de Bon Rencontre, raille de Montety, de la Place d’Espagne, de Rodeilhac, du Cul du Bœuf.
Ce film culte de la Rade a été réalisé en 1964 avec pour acteurs d’authentiques railleux dont nous retrouverons certains, devenus grand-pères et grand-mères lors de cette projection.
Distribution
Réalisateur : Jacques Lefebvre.
Avec : Serge Sauvion, Jean Galland, Jean-Marie Agnel, Roland Allard, Nicole Arenas, Jean Casanova, Gérard Chiaberge, Patrick Evera, Georges Gitton, César Philip
Tarif unique : 10€
THÉÂTRE
Vendredi 15 Novembre à 20h45
OREKHOV
- Cie Ainsi de suite -
« Un indéfectible attachement à la Liberté »
D’après une histoire vraie
COMPLET !
« Orekhov », ou l’histoire de cet officier du KGB qui décida un jour de travailler secrètement pour la cause des dissidents qu’il était chargé d’arrêter. En 1973, dans les étages sombres de la Loubianka, l’un des meilleurs officiers du KGB est chargé de s’occuper en personne du dissident Soljenitsyne. C’est en découvrant l’œuvre du prix Nobel que Viktor Orekhov commence à gravir lentement les marches de la dissidence pour finir par nous offrir cet incroyable scénario d’une vie improbable.
Entre amour, humour et tragédie, folie russe et leçon de vie, la pièce nous plonge dans l’Union Soviétique des années 70 où chaque vie semble suspendue à la grande roue d’un système toujours à la limite de l’absurde, où chaque geste ou parole peut être interprété et vous conduire au fin fond de l’enfer sibérien et où les destins viennent se briser contre le zèle des fantômes de Staline, eux-mêmes enfermés entre convictions et opportunisme. Ce cocktail de paradoxes nous emmène dans un univers où se côtoient des personnages attachants, cruels, drôles et émouvants. Si habituellement un dissident est une personne qui s’oppose au système politique en place, pour Soljenitsyne c’est « un fou qui a appris à penser par lui-même et qui met en danger le paradis socialiste ».
Distribution
Texte : Emilie Roudil et Claude Pélopidas
Mise en scène : Claude Pélopidas,
Avec : Dasha Baskakova, Olivier Cesaro, Jean-
Michel Guilmet, Jacques Maury, Matthieu Philippon, Claude Pelopidas et Emilie Roudil.Décors : Jacques Brossier
Musique : Martial Paoli, Jean-Christophe
Gairard, Dasha Baskakova.
Spectacle classé 6e du bruit du off Avignon 2024
Presse
« Une mise en scène remarquable, une œuvre sublime riche d’émotions » Performarts
« Le cabaret où se côtoient dissidents et espions du KGB revit sous les yeux
des spectateurs transportés. » La Provence
« C’est un grand moment qui, plus que politique, nous plonge dans les contradictions que peut traverser tout être humain. Qui remet en cause. Incite à la réflexion. » arts-spectacles.com
CONCERT
Vendredi 29 Novembre à 20h45
LOVE FOR CHET
- Stéphane Belmondo & Thomas Bramerie invitent Vittorio Silvestri -
« Hommage à Chet Baker»
COMPLET !
INSCRIPTION SUR LISTE D'ATTENTE
Thomas Bramerie a grandi à Toulon. Dès 1991, il s’installe à Paris où il joue régulièrement avec Olivier Hutman, Sangoma Everett et George Brown et tant d’autres. En 1996, il devient New-yorkais et intègre le groupe de DeeDee Bridgewater. De retour en France en 2007, il rejoint les groupes de Éric Legnini, Bojan Z., Baptiste Trotignon et Stéphane Belmondo, avec lesquels il enregistre de nombreux disques. Depuis 2020, il fait partie du groupe Frenchy de Thomas Dutronc, ASTA d’André Ceccarelli, « Dead Jazz» des frères Belmondo, ainsi que du quartet de Pierrick Pedron « the shape of jazz to come »
Thomas Bramerie et Stéphane Belmondo jouent ensemble depuis l’enfance. Ils ont parcouru le monde, ensemble ou séparément, jouant avec les plus grands noms du jazz sur toutes les scènes du monde, bâtissant leurs carrières internationales, qu’ils vivent à Toulon, Paris ou New-York. En 2015, ils enregistrent « Love for Chet », en hommage au trompettiste Chet Baker avec lequel ils ont tous les deux eu l’incroyable opportunité de jouer dans leur jeunesse. Dix ans après l’aventure continue et c’est ce programme qu’ils proposent en invitant le fantastique et unique guitariste italien Vittorio Silvestri, qui a déjà partagé la scène avec de grands noms du jazz tels que Monty Alexander ou Éliane Elias..
Distribution
Trompette et bugle : Stéphane Belmondo
Contrebasse : Thomas Bramerie
Guitare : Vittorio Silvestri
(C) photo : S. Heimlich, Sandy M
Presse
« Un soir de 1985, Chet Baker, déjà légendaire, vient écouter Stéphane Belmondo et l'invite à venir jouer à ses côtés le lendemain, au New Morning. Il aura fallu 30 ans après cette rencontre pour que Stéphane Belmondo revienne frontalement à Chet Baker. "Love For Chet": naissance d'un album qui rend hommage au maître. » France Culture
« Accompagné de son contrebassiste préféré, Thomas Bramerie, le grand Stéphane Belmondo va revisiter les classiques de l'immense « jeune homme à la trompette » à qui il doit son amour du jazz » La Strada
INSCRIPTION SUR LISTE D'ATTENTE
Prénom
Nom
Téléphone
Nombre de places souhaité
THÉÂTRE
Vendredi 6 Décembre à 20h45
LA RAISON DU PLUS FOU
- Cie Vive -
« L’homme est-il immoral ou naturellement bon ? »
Jean-Jacques Rousseau vient de finir le livre de sa vie : « Les Confessions », la première autobiographie jamais écrite où il règle ses comptes avec son ami de vingt ans, Denis Diderot, auteur de l’Encyclopédie. Les lectures publiques des Confessions que Rousseau vient faire à Paris risquent de faire emprisonner Diderot et de faire interdire l’Encyclopédie, livre impie pour l’Église puisque Dieu n’est plus mis au centre de la Création. Un soir, Diderot vient voir Rousseau pour qu’il cesse ses critiques mais Rousseau refuse car, selon lui, la sincérité n’a pas de prix. Diderot propose alors de jouer leurs oeuvres aux échecs. Ce soir, le gagnant décidera du sort de l’autre. Une partie insensée, burlesque et palpitante s’engage alors, où tous les coups sont permis pour déstabiliser l’adversaire.
« La raison du plus fou », c’est l'histoire d’une amitié déçue qui nous plonge dans l’univers tumultueux de ces deux grands esprits du siècle des Lumières. Pour constater que leurs pensées sont toujours amplement d’actualité.
Distribution
Texte : Franck Mercadal
Mise en scène et scénographie : Gregori Baquet
Avec : Franck Mercadal et Gregori Baquet
Lumières : Stéphane Baquet
Musiques : Michel Korb
Costumes : Pascale Faure
Presse
« La proposition est certes alléchante, et tient toutes ses promesses /…/ les saillies verbales sont frappées au coin du bon sens, de l'humour et de l'esprit. Les empoignades verbales sont de
haute volée et on appréciera les rapprochements subtils entre passé et présent. L'ensemble de la pièce est un régal pour les oreilles et combien on regrette qu'il faille remonter plus de deux siècles en arrière pour entendre des affrontements aussi constructifs, sensés, et jouissifs ! » La Provence
« La mise en scène de Grégori Baquet, très énergique, donne beaucoup de vie à ce dialogue. L’un et l’autre, talentueux acteurs, sont formidables dans leurs personnages. Ne perdez jamais de vue que Diderot est l’auteur du Paradoxe du comédien. Car le coup de génie de ce spectacle réside dans une belle mise en abîme du théâtre. Mais chut ! » L’Œil d’Olivier
DANSE
Vendredi 13 Décembre à 20h45
COPPELIA
- Ballet Petipa -
« Un ballet sur le thème fantastique des savants fous »
Coppélia, ou « la fille aux yeux d'émail » est un ballet en trois actes d'après le conte d'Hoffmann, « L’Homme au sable ». Développant le thème fantastique des savants fous, ce conte romantique tourne autour d’une poupée, un automate, créature de l’étrange Docteur Coppélius.
Fâchée car son fiancé Franz ne cesse d’observer la jeune fille à la fenêtre, qui passe pour être la fille du Docteur Coppélius, Swanilda s’introduit dans l’atelier et s’aperçoit que Coppélia n’est en réalité qu’un des nombreux automates du vieux savant. Restée cachée, elle assiste à une scène étrange : Franz entre dans l’atelier et Coppélius tente de s’emparer de son âme pour animer Coppélia. Swanilda prend alors la place de la poupée, laissant croire à Coppélius que sa créature a déjà pris vie.
Distribution
Chorégraphe : Eric Dufrier
Musique : Léo Delibes
Artiste Invité : Eric Dufrier
Azur Ballet Marius & Ballet Petipa
LECTURE & CINÉMA
Samedi 14 Décembre à 16h
PROV'OC
7e EDITION
- Cie Lei Chapacans / Didier Mir -
« Lecture théâtralisée & film documentaire »
L'HOMME SEMENCE
Cette lecture théâtralisée, mise en espace et en musique par 4 comédiennes et musiciennes "habitées", nous donne un récit vibrant du texte écrit vraisemblablement en 1919 par Violette Ailhaud. Une page douloureuse de notre histoire locale, "oubliée" par notre Histoire de France. En Provence, dans une époque récente et en des temps mauvais, des "Amazones" ordinaires font le serment, en un pacte invraisemblable, de maintenir la vie dans leur village vidé de tous ses hommes sans exception pour la 3ème fois en moins de 70 ans. Un combat émouvant et obstiné de femmes pour la Vie. Une fervente histoire d'amour aussi.
Distribution :
Avec : Miquèla Bramerie, Sylvie Martino, Violaine Demange, Véronique Morelle.
LES INAUDIBLES
Artiste multimédia, auteur, maître-formateur en arts visuels et en occitan, plasticien dont le fil rouge a toujours été de chercher à produire une peinture « en occitan », Didier Mir s'empare dans sa dernière réalisation du langage de la gravure et de la vidéo documentaire avec un projet de collectage sur l'expropriation des habitants du village de Brovès que l’Etat français vidait il y a 50 ans pour créer le camp militaire de Canjuers dans le Haut-Var. Il donne la parole à ceux qui, par leur action culturelle, par le théâtre ou la chanson ont lutté contre ce projet. Une pièce de théâtre mise en scène par André Neyton (« Lo Darrier Moton ») portera cette parole jusqu’à Paris. On le comprendra, le film fait la part belle à la langue et à la culture occitanes.
Distribution :
Film documentaire
De : Didier Mir
Durée : 52 min
Sortie : Mars 2024
Version bilingue français /occitan.
THÉÂTRE
Mardi 31 Décembre à 21h
Réveillon de la St Sylvestre
HUMAINS
- Cie Slalom -
« Pour que nous nous rendions compte que nous pouvons,
tous et toutes, être des êtres humains »
Ce spectacle, au concept totalement novateur qui réunit sur scène le musicien poète Narcisse, un guitariste, ainsi qu’une vingtaine d'artistes sous forme d'hologrammes, nous réconcilie avec notre espèce en faisant le point sur tout ce qu'il reste en nous d'humain.
Pourquoi sommes-nous la seule espèce animale qui écrit, compose de la musique, marche sur la lune ? Qu’est-ce qui nous a conduits à avoir besoin de téléphones intelligents, si nous sommes déjà l’espèce la plus intelligente ? D’ailleurs, sommes-nous vraiment l’espèce la plus intelligente ? C’est une histoire fascinante que Narcisse va partager avec vous. Dans une époque où nous avons bien des raisons de douter de l’humanité et de son avenir, « Humains » fait le point sur tout ce dont nous sommes capables. Pas tant pour que nous soyons fiers de ce que nous savons faire, mais surtout pour que nous rendions compte que nous pouvons tous et toutes, si nous le voulons bien, être des êtres humains…
Distribution :
Texte et Jeu : Narcisse
Mise en scène : Narcisse et Jean-Philippe Daguerre Guitariste : Robin Pagès ou Gaétan Lab
Avec les hologrammes de : Camille e t Julie Berthollet, , Phanee de Pool,Aliose , Pascal Rinaldi, Jocelyne Rudasigwa ,Vincent Zanetti, Marc-Olivier Savoy , Louise Knobil, Francesco Biamonte, Svenn Moretti-Golay, Damien Durand, Hélène Ramer, Marc Mydras, Silmo, Swathi Sasijumar, Global Bob, Manon Leresche, Jade Albasini
Costumes : Deluxe Couture
Création lumière :S téphane Baquet
Création son : Adrien Hollocou et Léo Zrehen
© Steeve_Silva_monteiro
Narcisse a reçu le Prix du jury du Mans-Cité Chanson en 2014 et le Prix du Festival Aux Actes Citoyens 2018
Tarif unique (spectacle + champagne) : 45€
Presse
« Son monologue /…/ est scandé au milieu d'hologrammes où se croisent une vingtaine d'artistes dans toute l'ampleur de leurs diversités, violoniste, joueur de djembé, danseur hip-hop en écho à un hautbois baroque /…/ Epoustouflant de créativité. Et en plus, c'est drôle ! / …/ Il a cette capacité à nous sortir des sentiers battus pour nous emmener vers celle d'une poésie jubilatoire. Mais en plus, ici, il nous apporte une vraie lumière ! » L ‘Est Républicain